Relever les défis du 21e siècle

Découvrez les avancées que la recherche à l’UQAM peut permettre, dans des secteurs prioritaires pour l’avenir.
création et
apprentissage

Dans l’univers numérisé et interconnecté d’aujourd’hui, les manières d’apprendre, de créer – et même de jouer – se transforment, tandis que celles d’enseigner doivent s’adapter. Ce nouveau contexte inspire bien des idées aux chercheurs de l’UQAM. Un aperçu d'une d’entre elles...
L’IDÉE
Dynamiser l’éducation scientifique et technologique
Ceci n’est pas un « fait alternatif » : dans les universités, les inscriptions en sciences et technologies (S et T) plafonnent, tandis que la population universitaire totale augmente. Or, sans une culture scientifique forte, c’est le progrès social, industriel et économique qui écope. Pour remédier à la situation, l’équipe multidisciplinaire de la Chaire de recherche sur l’intérêt des jeunes à l’égard des sciences et de la technologie traque l’intérêt des jeunes pour les S et T et élabore des méthodes pédagogiques novatrices pour le stimuler.
et défis
environnementaux

L’avenir de l’humanité repose sur la capacité des peuples à s’entendre et à cohabiter, autant que sur leur volonté de se développer en harmonie avec la nature. De grands défis, qui nécessitent des solutions concrètes. Comme celles-ci.
L’IDÉE
Voir clair dans le rôle de l’eau pour renforcer la prise de décision environnementale
De surface ou souterraine, l’eau est constamment soumise aux effets de l’activité humaine. Et il y a ces fameux changements climatiques, qui accentuent le stress qu’elle subit. Mais que signifient concrètement ces pressions, pour une ressource cruciale au maintien de tant d’habitats naturels? En créant la Chaire de recherche sur l'eau et la conservation du territoire, une équipe de chercheurs uqamiens souhaite percer les secrets des interactions entre l’eau et les écosystèmes, afin de mieux accompagner les acteurs de la conservation du territoire.
L’IDÉE
Enrichir le débat public sur l’actualité internationale
Alors que les enjeux stratégiques et diplomatiques mondiaux gagnent en complexité, la nécessité de s’y intéresser croît en importance. Depuis plus de 20 ans, la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques analyse avec finesse les événements qui marquent la planète et diffuse son savoir sur toutes les tribunes, pour tous les publics. Politique américaine, géopolitique du Moyen-Orient, résolution de conflits en Afrique francophone : tout se comprend sous l’éclairage de ses chercheurs.
numérique et
technologique

L’évolution de la société est indissociable de la production de nouveaux matériaux, logiciels, modèles d’analyse, processus d’évaluation, etc. Des chercheurs uqamiens travaillent chaque jour en ce sens. Voici 2 de leurs projets phares.
L’IDÉE
Accélérer l’électrification des transports
On l’annonce depuis longtemps : les véhicules de l’avenir seront électriques. Le futur est lent à s’imposer, mais la course aux innovations technologiques est effrénée. À l’UQAM, des chimistes experts en sciences des matériaux travaillent déjà à concevoir des systèmes de stockage de l’énergie plus performants, plus sécuritaires et moins coûteux. La création de la Chaire de recherche sur les nanomatériaux pour la conversion et le stockage de l’énergie leur permettrait de propulser leurs découvertes.
L’IDÉE
Améliorer l’efficacité des systèmes de transport
En empruntant le métro chaque matin ou en remplissant machinalement son panier d’épicerie de produits provenant des 4 coins du pays, on oublie facilement que les systèmes de transport et logistiques forment le support essentiel de nos sociétés. Nombreux, complexes et connectés, ces systèmes ont intérêt à être bien pensés. Un pôle de recherche et de formation pour aller encore plus loin en la matière pourrait bientôt voir le jour chez nous avec la Chaire de recherche en systèmes intelligents de transport et logistiques.
cultures
et sociétés

Voilà des thèmes qui forment un pôle de recherche et de création prioritaire pour l’UQAM depuis fort longtemps. Ils n’englobent pas moins des questions très actuelles, à propos desquelles l’Université entend continuer d’innover. Ce projet en donne une bonne indication.
L’IDÉE
Démystifier le vieillissement pour mieux vieillir ensemble
« Tsunami gris », « fardeau », « épée de Damoclès » : le vieillissement rapide de la société québécoise inspire des discours alarmistes. À la Chaire de recherche sur le vieillissement et la diversité citoyenne, loin des généralisations, une quinzaine de chercheurs de l’UQAM travaillent plutôt à renouveler le regard scientifique sur le vieillissement, en donnant la parole à ceux qui le vivent. Appréhendé autrement que comme une menace, le phénomène révèle alors toute sa richesse et sa complexité.
prospérité
et mieux-être

Même sans faculté de médecine, l’UQAM est à l’avant-plan des efforts visant à améliorer les conditions des individus et des communautés. Chaque jour, ses créateurs et chercheurs inventent des manières de favoriser la santé individuelle et collective. Ceci n’est qu’un échantillon de leurs brillantes propositions.
L’IDÉE
Miser sur l’art pour stimuler l’épanouissement des populations
L’art fait du bien. De plus en plus de spécialistes en sont convaincus. Grâce au théâtre, à l’écriture, à la musique ou à toutes sortes d’autres approches artistiques, des personnes fragilisées par différentes épreuves (maladie, toxicomanie, itinérance, etc.) voient leur mieux-être s’accroître. L’accompagnement par l’art est un domaine émergent et prometteur. Pas surprenant que l’UQAM ait choisi de s’y engager énergiquement à travers la Chaire de recherche-innovation UQAM sur les pratiques artistiques d'action sociale et d'intervention individuelle et collective.
L’IDÉE
Prévenir le cancer par l’alimentation
Les liens entre alimentation et prévention du cancer n’ont jamais été aussi discutés que ces dernières années. Derrière cette prise de conscience se trouve le travail acharné de l'extraordinaire équipe de chercheurs de la Chaire en prévention et traitement du cancer. Un agent anticancer créé dans le cadre de leurs travaux a d’ailleurs reçu le feu vert pour la phase ultime des essais cliniques de la Food and Drug Administration (FDA), aux États-Unis. L’espoir est permis !